On ignore à qui ce bijou couteux était destiné. Mais il ne serait pas saugrenu qu'il s'agisse d'Anciens proches des deux éditeurs, réunis sous les auspices de Jules Gaspar, cabaretier qui reçut des générations de Poils au Diable-au-Corps.
On notera au passage que ces festivités du 20 novembre se terminent alors encore par un punch flambé, rite bibitif dont on perd la trace après guerre.
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