jeudi 16 juin 2016

Les Contes d'Hoffmann

"Les Contes d'Hoffmann" est un opéra fantastique en cinq actes de Jacques Offenbach, livret de Jules Barbier d'après sa pièce écrite en 1851 avec Michel Carré, créé à l'Opéra-Comique de Paris, le 10 février 1881. Barbier et Carré s'inspirent de trois histoires de l'écrivain et compositeur allemand Ernst Theodor Amadeus Hoffmann (dixit Wikipédia).

Le premier acte se déroule dans une taverne de Nuremberg. La Muse apparaît. Elle révèle son intention d'attirer l'attention d'Hoffmann sur elle seule et de lui faire renier tous ses autres amours afin qu'il soit complètement dévoué à elle, la poésie. Elle prend pour cela l'apparence du meilleur ami d'Hoffmann, l'étudiant Nicklausse. (Ibidem)

La prima donna Stella, qui interprète Don Giovanni de Mozart dans la salle voisine, envoie une lettre à Hoffmann lui demandant de la rencontrer dans sa loge après le spectacle. A l'entracte de la représentation, Hoffmann arrive dans la taverne. Il amuse des étudiants présents avec la légende du nain Kleinzach, qui mêle à ses rêveries amoureuses. Les étudiants le pressent alors de raconter ses trois histoires d'amour. (Ibidem)

La gravure de Lepère, publiée dans Le Monde illustré de 1881, représente la taverne de maître Luther où Hoffmann rencontre des étudiants en Vollwichs : veste à brandebourgs, pantalon blanc, bottes, ruban en sautoir et calot.


Extrait du Monde illustré, 1881

Dans la plupart des adaptations des "Contes d'Hoffmann", le metteur en scène oublie les accessoires distinctifs des étudiants (casquettes et rubans). En voici une, présentée en 2011 à Bergen (Norvège), qui y prête plus ou moins attention.

mercredi 15 juin 2016

Les Anciens du CdS de 1958 et 1959

Ces portraits de Poils de Sciences, pris en 1958 et en 1959 à La Jambe de Bois et au Saint-Michel, sont autant de miroirs... Vivez, si m'en croyez. N'attendez à demain, a dit le poète...

Les Camarades d'alors ont des gueules, comme on dit au cinéma. Et aussi vrai qu'il n'y a pas de bon polar sans vrai méchant il ne se passe pas de soirée poilique sans Pandore. Vous trouverez donc également sa trombine et son casque blanc dans cette galerie d'Anciens, découverte (et transmise) par Bram D.sm.t.




















Brouettes et chapeaux pointus.

Une petite course de brouettes entre Bleus du Cercle des Sciences dans les galeries Saint-Hubert. Ces deux clichés datent de la fin des années 1950. A cette époque, les Bleus - déguisés - sont promenés en ville, avant d'être conduits au Baptême, où ils passent un à un devant le Jury.

Merci à Smetje pour ces deux photos.
 
Fin des années 1950. Photographie transmise par Bram D.sm.t.

Fin des années 1950. Photo transmise par Bram D.sm.t.