Le chroniqueur reste relativement évasif sur les épreuves imposées au Bleu. Et ce n'est pas un hasard : "N'oublions pas que "B.U." est lu dans les meilleures familles", rappelle avec ironie un article de mai 1928.
La soirée baptismale se termine - comme souvent - chez Gaspar, au Diable-au-Corps. Et, pour certains, au bordel.
L'articulet est illustré d'un clysopompe, instrument médical destiné à effrayer le Bleu pendant son baptême.
Bruxelles Universitaire, novembre 1928. |